Aujourd’hui, les conditions de vie ont bien évolué et les jardins « ouvriers » sont devenus « familiaux ». Il ne s’agit plus de lutte contre la misère, mais de fruits et légumes bio, convivialité et rendez-vous de passionnés !
Sans que nous nous en rendions compte, notre jolie ville « noire » est devenue « verte ». Les 3180 jardins stéphanois représentent 89 hectares de terrain qui sont eux-mêmes répartis en 45 sections. Pour les fans de statistiques, 9 jardiniers sur 10 sont des hommes et 1 jardinier sur 2 est retraité.